Un site internet, comme bien des choses, doit être entretenu sous peine de s’effondrer. Et quand son animateur commence à s’effondrer lui-même, il est temps de lui trouver un successeur.
Ceci vous intéresse? Pour toute information, contactez-nous (case « commentaire » ci-dessous). L’accompagnement sera assuré, bien sûr.
L’ennui, quand un site internet disparaît, c’est qu’il n’en reste rien: pas de mention « épuisé chez l’éditeur », pas d’exemplaire ancien chez les bouquinistes. Rien, tout simplement, et c’est souvent dommage. Ainsi, la quasi-totalité des sites qui ont conduit à la constitution de notre dossier sur la forme des amphores, ont aujourd’hui disparu du web. Leur dernière trace se trouve… dans l’AnticoPédie!
L’AnticoPédie en quelques chiffres :
Le site compte environ 800 pages réalisées en HTML basique, avec près de 3000 objets, une lettre d’information, un blog, des pages Facebook et Twitter.
Pour 2019, les statistiques du serveur mentionnent 300000 visites et plus d’un million de pages vues… Mais il suffit de regarder les données en détail pour s’apercevoir que nombre de visites émanent des Etats-Unis ou d’Allemagne (Francfort, site de Google) et durent moins de 10 secondes: il s’agit donc de robots!
Contentons-nous donc d’avancer, pour les pays francophones, le nombre réaliste de 60000 visiteurs qui ont consulté le site pendant 10000 heures au total.
Un premier pas est fait : L’équipe de l’AnticoPédie s’agrandit, et pour tout dire, double ses effectifs… puisque désormais nous sommes deux.
Bienvenue donc à…
…Jean-Guillaume Duflot, né il y a 45 ans à Lugdunum, auteur et pigiste depuis plus de 25 ans pour l’appoint, sinon salarié et commerçant depuis 20 ans.
Reconstitueur médiéval pendant dix ans, avec une spécialisation d’arc long, il a croisé quelques troupes d’évocateurs de la vie primitive ou gauloise se réunissant lors des raouts qui espèrent couvrir l’histoire d’un lieu, de l’Age du Bronze à Napoléon.
Le premier du nom, et son neveu, ont beaucoup utilisé les symboles de la République Romaine aussi l’intérêt porté par Jean-Guillaume à cette nouvelle période impériale, en Gaule du XIXe ap. J-C, se trouve renforcé par deux évidences: les âges de l’Histoire sont des conventions chronologiques et notre société est réellement influencée par les intellectuels grecs et les institutions latines, nés et morts il y a bien des siècles.
Voilà pourquoi il s’attache à souligner la porosité des frontières entre les époques pour arriver jusqu’à nos jours en suivant les traces de l’Antiquité.